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Vous êtes préoccupé·e par des pensées concernant des mineur·e·s ?

Une connaissance vous a interpellé sur votre proximité avec des mineur·e·s ?

Vous avez été interpellé suite au visionnage de contenus illégaux ?

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Vous êtes confronté·e
à une situation similaire ? 

Pensées ou comportements préoccupants

Avoir des pensées à caractère sexuel impliquant des mineurs, ou adopter des comportements qualifiés d’inappropriés (comme une utilisation excessive ou inadaptée d’internet, ou des interactions troublantes avec un·e mineur·e), peut être source de questionnements et de souffrance.

Il n’est pas toujours facile de savoir vers qui se tourner et où en parler. Pourtant, reconnaître que ces pensées ou ces comportements nous inquiètent est déjà un signe important.

Reconnaitre une situation problématique

Avoir des pensées à caractère sexuel impliquant des mineurs ou adopter des comportements inappropriés ne signifie pas être condamné·e à passer à l’acte. Prendre conscience de leur caractère problématique (pour soi et pour les autres) est une étape essentielle, afin de ne pas rester seul·e avec ses inquiétudes, d’agir avant que la limite légale ne soit franchie, et d’éviter des conséquences graves. 

Pouvoir mettre des mots sur ses préoccupations, dans un cadre non-jugeant, et auprès de professionnels spécialisés est une étape importante, pour mieux comprendre sa situation et apprendre à gérer ses difficultés.

Franchissement de la limite légale

Avoir commis une infraction, en particulier à caractère sexuel, constitue un point de bascule. Cela est le signe qu’une limite importante a été franchie, parfois après une période de confusion, de perte de repères ou de comportements progressivement problématiques.
L’interpellation, lorsqu’elle survient, agit souvent comme un choc. Elle confronte brutalement à la réalité des actes posés et à leurs conséquences, tant pour soi que pour les autres. Ce moment peut susciter un mélange d’émotions : honte, peur, culpabilité… mais aussi, parfois, un soulagement d’être stoppé·e.
Malgré la gravité de la situation, il est possible d’en faire un point de départ. Comprendre ce qui a conduit à l’infraction, reconnaître ses responsabilités et demander de l’aide sont des démarches essentielles pour éviter la récidive et entamer un processus de changement.

BESOIN D’AIDE ?

La honte et la peur d’être jugé sont souvent fréquentes et peuvent rendre difficile la démarche de demande d’aide. Pourtant, rester seul·e face à ses préoccupations peut accentuer la souffrance et l’isolement.

Vous avez le droit d’être aidé·e.

Contacter la ligne d’écoute et de prévention DIS NO

Ressources disponibles

Les intervenants de la ligne d’écoute et de prévention DIS NO proposent un espace confidentiel, afin de :

  • Mettre en mots vos préoccupations dans un cadre non-jugeant
  • Vous accompagner dans la mise en place de mesures de prévention
  • Vous aider à faire le point sur votre situation et vos besoins
  • Vous orienter vers des ressources


Chaque situation est unique et mérite un accompagnement.

Pour en savoir plus sur la ligne d’écoute et de prévention, cliquez ici

Vous n’êtes pas en Suisse ? Accéder aux ressources existantes

Des modules d’auto-assistance sont disponibles en ligne et peuvent être consultés de manière anonyme  (Ça suffit ou Troubled desire). Ces différents modules proposent des pistes pour explorer et comprendre les origines de certains comportements, ainsi que des outils de gestion et d’amélioration du bien-être.

Une prise en charge auprès d’un·e professionnel·le spécialisé·e (psychologues, psychiatres, sexologues, etc.) peut vous aider à mieux comprendre vos difficultés et à mettre en place des stratégies pour gérer ces situations.

Il peut être difficile de s’orienter parmi les professionnel·le·s existant·e·s. DIS NO dispose d’un réseau de professionnel·le·s spécialisé·e·s. 

Les intervenants de la ligne d’écoute et de prévention pourront vous accompagner pour trouver une aide adaptée à vos besoins. 

Témoignages

Léo, 25 ans – « ... la première étape vers un changement… »
"Vous contacter aujourd’hui est la première étape vers un changement et permet de poser des limites claires. Je sais qu’on ne peut pas guérir de cette attirance mais j’ai le désir qu’elle prenne moins de place dans ma vie. Je souhaite également me détacher de cette image de monstre qui me pèse au quotidien alors que jamais je ne pourrais faire de mal à un enfant."
Jane, 30 ans – « ... J’ai besoin d’un espace ou je suis puisse parler de mes préoccupations. »
"« Personne ne décide d’être comme ça. Croyez-moi, je voudrais plus que tout ne pas être attirée par les enfants. Je me dégoûte et j’en dors pas la nuit. En plus je suis une femme. Je vois partout des services pour hommes mais une femme pédophile, ça ne semble tout simplement pas exister. Même les personnes à qui je me confie pense que je blague. J’ai besoin d’un espace ou je suis puisse parler de mes préoccupations."
Paul, 32 ans – « ... Je suis heureux, voire soulagé, d'apprendre qu'il existe une association comme la vôtre »
"Je suis heureux, voire soulagé, d'apprendre qu'il existe une association comme la vôtre pour les personnes qui souffrent de déviances sexuelles envers des mineur(e)s. [...] Je sais également qu'on ne peut guérir de la pédophilie, mais si je pouvais trouver un jour un moyen de gérer celle-ci, je vivrais déjà plus en paix avec moi-même et mon esprit."
Jacques, 57 ans – « ... Je souhaite comprendre ce qui m’a amené à consommer de la pédopornographie. »
"Il y a 4 ans, j’ai été confronté à plusieurs décès dans mon entourage et à la perte d’un emploi. C’est à ce moment-là que j’ai sombré dans l’alcool et la drogue. Durant cette période de dérives, j’ai également consommé de la pédopornographie. Aujourd’hui, j’ai réussi à arrêter toutes ces addictions mais je me sens encore extrêmement mal vis-à-vis de ma consommation de pédopornographie. Je souhaite comprendre ce qui m’a amené à en consommer et m’assurer que je ne rechuterais pas. Surtout que je ne suis pas attiré sexuellement par les enfants ! "
Claude, 46 ans – « ...Contacter DIS NO m’a permis de me libérer et de trouver une aide adaptée à ce que je vivais. »
"Jusqu’à présent, j’étais toujours rester dans le déni en ce qui concerne ma consommation de contenu. Puis je n’arrive plus à me détacher de mon ordinateur. Je ne savais pas vers qui me retourner pour trouver de l’aide. Contacter DIS NO m’a permis de me libérer et de trouver une aide adaptée à ce que je vivais. "

Témoignages

Léo, 25 ans – « ... la première étape vers un changement… »
"Vous contacter aujourd’hui est la première étape vers un changement et permet de poser des limites claires. Je souhaite également me détacher de cette image de monstre qui me pèse au quotidien alors que jamais je ne pourrais faire de mal à un enfant."
Jane, 30 ans – « ...un espace où je suis puisse parler de mes préoccupations. »
"« Personne ne décide d’être comme ça. Croyez-moi, je voudrais plus que tout ne pas être attirée par les enfants. Je me dégoûte et j’en dors pas la nuit. En plus je suis une femme. Je vois partout des services pour hommes mais une femme attirée par des enfants, ça ne semble tout simplement pas exister. Même les personnes à qui je me confie pense que je blague. J’ai besoin d’un espace où je suis puisse parler de mes préoccupations."
Paul, 32 ans – « ... Je suis heureux, voire soulagé, d'apprendre qu'il existe une association comme la vôtre »
"Je suis heureux, voire soulagé, d'apprendre qu'il existe une association comme la vôtre pour pouvoir aborder cette attirance envers les mineurs [...] Je sais également que certaines choses doivent être amenées en suivi, mais si je pouvais trouver un jour un moyen de gérer cela, je vivrais déjà plus en paix avec moi-même et mon esprit."
Jacques, 57 ans – « ... Je souhaite comprendre ce qui m’a amené à consommer de la pédopornographie. »
"Il y a 4 ans, j’ai été confronté à plusieurs décès dans mon entourage et à la perte d’un emploi. C’est à ce moment-là que j’ai sombré dans l’alcool et la drogue. Durant cette période de dérives, j’ai également consommé de la pédopornographie. Aujourd’hui, j’ai réussi à arrêter toutes ces addictions mais je me sens encore extrêmement mal vis-à-vis de ma consommation de pédopornographie. Je souhaite comprendre ce qui m’a amené à en consommer et m’assurer que je ne rechuterais pas."
Claude, 46 ans – « ...Contacter DIS NO m’a permis de me libérer et de trouver une aide adaptée à ce que je vivais. »
"Jusqu’à présent, j’étais toujours resté dans le déni en ce qui concerne ma consommation de contenu pédopornographique. Puis je n’arrive plus à me détacher de mon ordinateur. Je ne savais pas vers qui me retourner pour trouver de l’aide. Contacter DIS NO m’a permis de me libérer et de trouver une aide adaptée à ce que je vivais. "
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